Après:
- la peinture et la guerre d'Espagne dans Le héron de Guernica;
- la photographie et le combat humaniste de Vaclav Havel pour son pays dans Quelques jours dans la vie de Tomas Kusar;
Cette fois-ci, c'est le dessin et le camp de Terezin qu'Antoine Choplin choisit de rapprocher pour raconter l'être humain, sa sensibilité, sa force, sa vulnérabilité et sa détermination.
En une succession de courts chapitres ciselés, cet auteur de qui je suis un peu plus sous le charme à chaque lecture, crée une émotion intense, rappelle l'Histoire et invite à contempler les détails du quotidien pour y déceler la grandeur des choses de la vie et la chance infinie que représente la liberté.
Un grand et beau moment de lecture et d'humanité.
Cette FORÊT d'arbres creux complète la colonne VÉGÉTAL de ma première ligne pour le:
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