Vous aurez peut-être remarqué que ma présence par ici se fait de plus en plus irrégulière et que, même lorsque je passe par ici, mes billets sont de plus en plus courts et creux.
Je pensais que cela venait du fait que j'avais du mal à lire, mais en fait pas du tout. J'aime toujours autant lire. C'est bloguer qui me pèse désormais.
Du coup, j'ai été faire un tour du côté des statistiques et il semblerait que vous soyez une vingtaine à passer ici quotidiennement. A vous donc, inconnues et inconnus ou peut-être connues et connus simplement discrètes et discrets, j'adresse toutes mes excuses: le coeur n'y est tout simplement plus.
Parlant de coeur, c'est avec un merveilleux COUP DE COEUR que l'aventure se termine (ou pour le moins se met en pause pour une durée indéterminée).
Ce livre de Paul Vacca déniché (encore une fois! 😊) chez Suzanne est un bijoux.
On rit, on pleure, on se souvient, on respire le parfum des fleurs, on parle de Proust, on aime, on échange tendresse et complicité, on réalise des rêves et on savoure la vie malgré tous les obstacles qu'elle présente et les empêcheurs de tourner en rond qui ne manquent pas de se présenter de temps en temps.
Une Madeleine...
Une petite cloche au son grêle...
Et... le challenge du petit bac d'Enna qui a été la première blogueuse à qui j'ai "parlé" il y a quelques années et avec qui je termine mon passage sur la blogo.
Cette formidable lecture vient en effet remplir la colonne OBJET de ma première ligne du désormais célèbre
(il me reste deux titres à trouver pour compléter cette première ligne...
Je les mentionnerai ici peut-être, ou alors seulement sur le blog d'Enna)
CIAO! 😊